Émile FRIANT (Dieuze, 1863 – Paris, 1932)
Huile sur toile 
Cette oeuvre de jeunesse est un exemple précoce des autoportraits que peint Émile Friant tout au long de sa carrière. Elle témoigne de la vocation et de la maîtrise du jeune artiste. De très nombreux éloges de la critique saluent sa maturité et sa vigueur dès son exposition au Salon des Amis des Arts de la Ville de Nancy en 1878.
 
Date : 1878
Matière : huile sur toile
Taille : 46 x 38 cm
Acquisition : don de Madame Gavet-Devilly, 1931
N° d'inventaire : 607

A découvrir en salle 44
Le cadrage resserré autour du buste confère une forte présence au jeune peintre vu de face, fixant le spectateur avec intensité et détermination. L'arrière-plan brun sombre sur lequel il se détache ne détourne pas l'attention du modèle élégamment vêtu. Son costume, composé d'une veste, d'un gilet et d'une cravate uniformément noirs contrastant avec une chemise d'une blancheur éclatante, ne laisse rien deviner de son statut d'artiste. Seule l'exécution assurée du tableau et les subtiles nuances des couleurs employées semblent affirmer son talent rapidement reconnu, en l'absence de la palette et des pinceaux visibles sur le buste sculpté bien des années plus tard, au crépuscule de la carrière de Friant, par son ami Eugène Gatelet (1927).
Émile FRIANT (Dieuze, 1863 – Paris, 1932)
Huile sur toile 
Cette oeuvre de jeunesse est un exemple précoce des autoportraits que peint Émile Friant tout au long de sa carrière. Elle témoigne de la vocation et de la maîtrise du jeune artiste. De très nombreux éloges de la critique saluent sa maturité et sa vigueur dès son exposition au Salon des Amis des Arts de la Ville de Nancy en 1878.
 
Date : 1878
Matière : huile sur toile
Taille : 46 x 38 cm
Acquisition : don de Madame Gavet-Devilly, 1931
N° d'inventaire : 607

A découvrir en salle 44
Le cadrage resserré autour du buste confère une forte présence au jeune peintre vu de face, fixant le spectateur avec intensité et détermination. L'arrière-plan brun sombre sur lequel il se détache ne détourne pas l'attention du modèle élégamment vêtu. Son costume, composé d'une veste, d'un gilet et d'une cravate uniformément noirs contrastant avec une chemise d'une blancheur éclatante, ne laisse rien deviner de son statut d'artiste. Seule l'exécution assurée du tableau et les subtiles nuances des couleurs employées semblent affirmer son talent rapidement reconnu, en l'absence de la palette et des pinceaux visibles sur le buste sculpté bien des années plus tard, au crépuscule de la carrière de Friant, par son ami Eugène Gatelet (1927).