Charpentiers et peintres actifs au XIIIe siècle
Plafonds peints "au bestiaire"
Ces deux plafonds au bestiaire peints au XIIIe siècle font partie des oeuvres emblématiques du patrimoine médiéval messin. À l'origine, ils décoraient deux pièces de l'ancienne demeure du n° 8 de la rue Poncelet.
Date : XIIIe siècle
Matière : bois (chêne) et peinture à la détrempe
Taille : 90 m²
Lieu de découverte
découverte fortuite au 8 rue Poncelet en 1896
Acquisition : récupération en 1898
N° d'inventaire : 8352 et 8353

À découvrir dans les salles 30 et 31

Ces plafonds, composés de poutres et de planches de chêne, représentent cinquante-huit figures inscrites à l'intérieur de cercles ou de cadres. La richesse et la complexité de ces créatures sont remarquables. En effet, en plus des quelques figures humaines telles qu'un chevalier, un homme sauvage ou encore des siamois, ainsi que des animaux réels comme un hérisson, un cheval ou encore un coq, nous retrouvons une série incroyable de figures hybrides. Le spectateur est confronté à un bestiaire médiéval comme il se doit, où se rencontrent des têtes tantôt animales, tantôt humaines, portant des capuches, des queues de dragon, d'oiseau ou de poisson, des griffes ou des palmes, des corps de félins ou de cervidés, le tout reflétant l'imaginaire débordant des hommes du Moyen Âge.



Salle des plafonds au bestiaire, Musée de La Cour d'Or - Eurométropole de Metz
Charpentiers et peintres actifs au XIIIe siècle
Plafonds peints "au bestiaire"
Ces deux plafonds au bestiaire peints au XIIIe siècle font partie des oeuvres emblématiques du patrimoine médiéval messin. À l'origine, ils décoraient deux pièces de l'ancienne demeure du n° 8 de la rue Poncelet.
Date : XIIIe siècle
Matière : bois (chêne) et peinture à la détrempe
Taille : 90 m²
Lieu de découverte
découverte fortuite au 8 rue Poncelet en 1896
Acquisition : récupération en 1898
N° d'inventaire : 8352 et 8353

À découvrir dans les salles 30 et 31

Ces plafonds, composés de poutres et de planches de chêne, représentent cinquante-huit figures inscrites à l'intérieur de cercles ou de cadres. La richesse et la complexité de ces créatures sont remarquables. En effet, en plus des quelques figures humaines telles qu'un chevalier, un homme sauvage ou encore des siamois, ainsi que des animaux réels comme un hérisson, un cheval ou encore un coq, nous retrouvons une série incroyable de figures hybrides. Le spectateur est confronté à un bestiaire médiéval comme il se doit, où se rencontrent des têtes tantôt animales, tantôt humaines, portant des capuches, des queues de dragon, d'oiseau ou de poisson, des griffes ou des palmes, des corps de félins ou de cervidés, le tout reflétant l'imaginaire débordant des hommes du Moyen Âge.



Salle des plafonds au bestiaire, Musée de La Cour d'Or - Eurométropole de Metz